31 août 2009
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Que j'aime voir, belle indolente
Sur ton corps si beau,
Comme une étoffe vacillante
Miroiter ces fresques sur ta peau.
Tel un navire qui appareille
S'offrant au vent du matin,
Mon âme rêveuse s'émerveille
En quête de rivages lointains.
Ta posture offerte nonchalamment
Belle d'abandon,
Me fait frissonner dans l'attente
Déjà, souffrant mille tentations.
De ton corps qui se déhanche, dénudé
Comme une vague affolant l'eau,
S'empare l'envie de m'immerger
Et me laisser emporter par les flots.
Sur ton corps si beau,
Comme une étoffe vacillante
Miroiter ces fresques sur ta peau.
Tel un navire qui appareille
S'offrant au vent du matin,
Mon âme rêveuse s'émerveille
En quête de rivages lointains.
Ta posture offerte nonchalamment
Belle d'abandon,
Me fait frissonner dans l'attente
Déjà, souffrant mille tentations.
De ton corps qui se déhanche, dénudé
Comme une vague affolant l'eau,
S'empare l'envie de m'immerger
Et me laisser emporter par les flots.
Sur ta chevelure profonde
Aux âcres parfums,
Mer odorante et vagabonde
Quel bonheur de goûter aux embruns.
Aux âcres parfums,
Mer odorante et vagabonde
Quel bonheur de goûter aux embruns.
Quand l'eau de ta bouche remonte
Ressac de vas et viens,
Boire jusqu'à plus soif, sans honte
Aimer … t'entendre dire "viens".
Ressac de vas et viens,
Boire jusqu'à plus soif, sans honte
Aimer … t'entendre dire "viens".
Signé: Moa.